Une fois la petite visite de Berkeley terminée, nous avons repris le BART direction le centre-
ville et plus préci-
sément du Fisher-
man's Wharf (le quai des pêcheurs). C'est un secteur très fréquenté par les touristes pour ses nombreux restau-
rants et ses étals de fruits de mer.
Je peux vous assurer que les odeurs sont fort agréables et donnent rapide-
ment faim si on a le malheur de trop s'y attarder ! Vous avez de nombreux bateaux amarrés, que ce soient des bateaux de pêche ou d'anciens bâtiments de guerre de la marine améri-
caine. Nous avons fait une petite prome-
nade le long des quais en direction du Golden Gate.
Mais ça nous a permis d'observer la baie et son attraction principale, l'île d'Alcatraz.
Elle hébergea pendant quelques décennies une forteresse militaire (1850-1909), puis une prison militaire (1909-1933) et enfin une prison fédérale (1934-1963). Cette prison fédérale est restée célèbre pour avoir abrité entre ses murs Al Capone, l'indomp-
table gangster de Chicago la cor-
rompue. Rares sont les prison-
niers qui ont réussi à s'en échapper ! Alors vous continuez de vous promener le long des quais, mais certains visiteurs ont bien pris la mesure de la distance à parcourir et ont décidé de se déplacer plus rapide-
ment.
L'autre attraction de la baie, c'est bien sûr le pont le plus célèbre du monde, le Golden Gate Bridge, suspendu à près de 70 mètres au-dessus de l'eau !
Du coup, même les plus gros ferries peuvent passer en-
dessous, ce qui impres-
sionne lorsque cela se produit sous vos yeux ! Les deux pylônes s'élèvent à 230 mètres de haut, soit l'équi-
valent d'un im-
meuble de 65 étages ! Verti-
gineux ! Ce ferry peut même presque totalement éclipser l'île d'Alcatraz lorsqu'il passe devant !
C'est aussi à partir de là que la ligne de cable car démarre, avec une plateforme circulaire pivotante (Cable Car Turn-
table) pour faire faire demi tour au wagon.
L'attente
dure parfois 45 minutes, mais ça laisse le temps d'apprécier le travail des machi-
nistes pour faire pivoter le cable car et le faire repartir dans le sens
inverse. Une fois
à bord, on a le choix entre l'intérieur du wagon ou l'extérieur, en s'accrochant aux manches.
Les touristes peuvent monter à bord à différents endroits du parcours, en payant direc-
tement le chauffeur. Ce qui est impres-
sionnant, c'est la longue ascension d'une côte depuis le Fisher-
man's Wharf. On passe alors au niveau de Lombard Street avant d'effectuer une descente et de poursuivre vers le centre-ville et plus préci-
sément du Fisher-
man's Wharf (le quai des pêcheurs). C'est un secteur très fréquenté par les touristes pour ses nombreux restau-
rants et ses étals de fruits de mer.
Je peux vous assurer que les odeurs sont fort agréables et donnent rapide-
ment faim si on a le malheur de trop s'y attarder ! Vous avez de nombreux bateaux amarrés, que ce soient des bateaux de pêche ou d'anciens bâtiments de guerre de la marine améri-
caine. Nous avons fait une petite prome-
nade le long des quais en direction du Golden Gate.
Mais ça nous a permis d'observer la baie et son attraction principale, l'île d'Alcatraz.
Elle hébergea pendant quelques décennies une forteresse militaire (1850-1909), puis une prison militaire (1909-1933) et enfin une prison fédérale (1934-1963). Cette prison fédérale est restée célèbre pour avoir abrité entre ses murs Al Capone, l'indomp-
table gangster de Chicago la cor-
rompue. Rares sont les prison-
niers qui ont réussi à s'en échapper ! Alors vous continuez de vous promener le long des quais, mais certains visiteurs ont bien pris la mesure de la distance à parcourir et ont décidé de se déplacer plus rapide-
ment.
L'autre attraction de la baie, c'est bien sûr le pont le plus célèbre du monde, le Golden Gate Bridge, suspendu à près de 70 mètres au-dessus de l'eau !
Du coup, même les plus gros ferries peuvent passer en-
dessous, ce qui impres-
sionne lorsque cela se produit sous vos yeux ! Les deux pylônes s'élèvent à 230 mètres de haut, soit l'équi-
valent d'un im-
meuble de 65 étages ! Verti-
gineux ! Ce ferry peut même presque totalement éclipser l'île d'Alcatraz lorsqu'il passe devant !
C'est aussi à partir de là que la ligne de cable car démarre, avec une plateforme circulaire pivotante (Cable Car Turn-
table) pour faire faire demi tour au wagon.
L'attente
dure parfois 45 minutes, mais ça laisse le temps d'apprécier le travail des machi-
nistes pour faire pivoter le cable car et le faire repartir dans le sens
inverse. Une fois
à bord, on a le choix entre l'intérieur du wagon ou l'extérieur, en s'accrochant aux manches.
Les touristes peuvent monter à bord à différents endroits du parcours, en payant direc-
tement le chauffeur. Ce qui est impres-
sionnant, c'est la longue ascension d'une côte depuis le Fisher-
ville. Avant d'arriver au terminus de la ligne, le cable car passe devant le musée du cable car. A l'intérieur se trouvent de gigan-
tesques bobines qui tirent le câble.
Cette petite visite permet de voir l'ingéniosité du système qui fonctionne encore de nos jours ! Même si autrefois il existait de nombreuses lignes de cable car, il en subsiste deux aujourd'hui, la ligne Powell-Mason et la Powell-Hyde.
Le cable car fait de San Francisco une ville particulière chargée d'Histoire, que seules les maisons colorées
victorien-
nes ne sauraient repré-
senter totale-
ment. C'est une ville unique.
tesques bobines qui tirent le câble.
Cette petite visite permet de voir l'ingéniosité du système qui fonctionne encore de nos jours ! Même si autrefois il existait de nombreuses lignes de cable car, il en subsiste deux aujourd'hui, la ligne Powell-Mason et la Powell-Hyde.
Le cable car fait de San Francisco une ville particulière chargée d'Histoire, que seules les maisons colorées
victorien-
nes ne sauraient repré-
senter totale-
ment. C'est une ville unique.